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Traitement des eaux

 

Le secteur du bâtiment représente, en France, 43 % des consommations énergétiques annuelles et génère 23 % des émissions de gaz à effet de serre (GES). Afin de réduire ces taux, la France réglemente, incite et sensibilise les acteurs du secteur pour atteindre des niveaux de performance énergétique de référence dans la construction et la rénovation du bâti.

 

Parmi les évolutions législatives récentes, la loi DDADUE (2015), la loi ELAN (2018), la règlementation énergétique (2020), le décret BACS (2020), le décret tertiaire (2021), la loi climat et résilience (2021) ou encore la norme ISO 50001 ont défini de nouvelles contraintes et impératifs à destination des acteurs publics et privés.

Ainsi, le décret tertiaire ou dispositif éco efficacité tertiaire (DEET) impose par exemple une réduction des consommations énergétiques progressive pour tous les bâtiments tertiaires dont la surface d'exploitation est supérieure ou égale à 1 000 m2. Cette nouvelle réglementation vise à économiser 40% d’énergie finale à l’horizon 2030 et 60% d’énergie finale dans ces bâtiments à l’horizon 2050.

 

Un des postes souvent oubliés lorsqu’il s’agit de faire des économies d’énergie est l’eau. En effet, un des gisements d’économie d’énergie réside dans la production d’eau chaude. Les chauffe-eaux à combustible (gaz, bois et fioul) sont impactés par la présence de calcaire. L’entartrage du serpentin dans lequel circule l’eau entraîne une baisse du rendement énergétique et donc une augmentation de la consommation d’énergie.

Or, une très large majorité des départements français possède une eau calcaire à très calcaire. Les études scientifiques et les expertises menées s’accordent pour dire qu’une couche de 1mm peut entraîner une hausse de 10% de la consommation énergétique. Avec une couche de 1 cm (les dépôts de tartre de cette épaisseur sont loin d’être rares dans les machines peu accessibles telles que les chaudières ou chauffe-eaux), c’est une dépense énergétique en augmentation de 50% qu’il faut constater.

 

Ainsi, comment limiter l’impact du calcaire sur les consommations énergétiques ?

Plusieurs techniques existent mais beaucoup comportent des inconvénients significatifs. Cependant, aujourd’hui vous avez l’opportunité d’utiliser une technologie d’élimination physique du calcaire. Cette dernière traite l’eau pour éliminer et prévenir les incrustations de tartre et de corrosion dues au passage de l’eau dans les conduits à la fois industriels et domestiques.

La technologie proposée par cette solution est intégrée dans un anneau d’alliage d’aluminium et de silicium qui se fixe en 5 minutes sur les canalisations. Grâce à l’émission d’ondes sonores de basse fréquence (infrasons), des vibrations sont générées et se superposent aux oscillations naturelles qui régissent les fluides. La résonance harmonique ainsi créée détruit alors les particules (dont le calcaire) qui adhèrent aux parois des canalisations et des appareils. Cela permet à l’eau de circuler avec un débit normal, prolonge la durée de vie de l’équipement. De plus ses anneaux effectuent un processus d’assainissement où il détartre la dureté existante accumulée pendant des années, à la fois dans les tuyaux et dans les appareils.

Ce procédé agit selon deux axes principaux : un axe préventif et un axe curatif :

Traitement préventif : il empêche les particules de calcium de magnésium et de sulfates (principalement présentes dans l'eau) d'adhérer aux tuyaux et aux équipements ménagers, tertiaires et industriels. Il maintient l'efficacité et fait fonctionner l'équipement à 100% prolongeant ainsi leur durée de vie.

Traitement curatif : dans les systèmes hydrauliques ou les équipements ménagers, tertiaires et industriels, il élimine les incrustations des sels minéraux. De la même manière qu'il évite la corrosion due à une eau extrêmement douce ou à des traitements chimiques et il élimine aussi le biofilm qui abrite les microorganismes (bactéries telles que les légionnelles).

 

Ce traitement sans chimie procure des résultats mesurables et des performances élevées au point de pouvoir traiter les duretés d’eau et les températures extrêmes. Les effets vont améliorer l’eau, la rendre performante, elle ne détériore plus, elle protège, elle offre des meilleures qualités pour être chauffée par exemple.

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Avantages

Avantages

  • Sans consommable

  • Sans consommation d’énergie

  • Sans rejet d’eau

  • Sans aimant, ni anode de zinc

  • Entièrement autonome, sans maintenance ni entretien

  • Adaptable sur les canalisations et sur toutes les matières (plastique, acier, inox, cuivre, fonte, verre…)

  • Installation simple et sans travaux autour de la canalisation et sans arrêt de production

  • Durée de vie de 15 ans

  • Des anneaux de différents diamètres et pour différents débits

  • Optimise les échanges thermiques

  • Prolonge la vie des équipements

  • Diminue les risques microbiens

  • Diminue l’usage de produits chimiques

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